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Bonjour
"Dans le contexte de la recherche en développement, il est souvent dit, que la pratique d’une discipline, si elle n’a pas fait l’objet, d’une théorisation (PAILLE 1996, P.184), rentre dans une jauge de construction pas assez tranchée :
Je m’explique : avant les notaires étaient chargés de la rédaction d’acte et de son authenticité. (ils le font toujours)
Aujourd’hui, il pratiquent un éventail des disciplines de droit qui, quelques fois ne figurent pas dans leur formation aussi bien "initiale que continue".
N’y a-t-il pas un risque de procéder de cette manière ?
Notamment, avec le développement et la croissance des consultations juridiques.
Surtout que pour le traitement de certains dossiers au nom et pour le compte de leurs clients, ils doivent solliciter pas seulement des collaborateurs experts, mais "des théoriciens" aptes qui détiennent une capacité, un droit (aptitude)à mieux faire.
Le cumul des pratiques de "droit" est-il vraiment avantageux dans votre profession ?
Cordialement