Poster un message :
En réponse à l'article :
13 juin, 08:00
1. Ne pas rédiger de testament. L’omission testamentaire reste l’écueil principal. Dans une famille recomposée, seuls les enfants du défunt - biologiques ou adoptés - sont légalement réservataires. Le conjoint survivant n’a droit qu’à une quote-part variable, et les enfants du conjoint ne disposent d’aucun droit successoral, sauf adoption. Rédiger un testament permet d’user pleinement de sa quotité disponible pour avantager un tiers, y compris le beau-parent ou un enfant issu d’une précédente union du (...)